Entreprendre et zéro stress au travail, cela dépend de vous!

Pour beaucoup, entreprendre, se mettre à son compte est une promesse de liberté. Finies les contraintes du boulot imposées par un tiers. Je suis mon propre patron. Plus de stress ! Et bien ça dépend de moi!

Certes, je me donne les contraintes que je veux. Mais d’autres contraintes s’imposent à moi.

Alors mon attitude est déterminante.

Je peux être tendu.

  • Je dépends du client
  • Je dois m’occuper de tout
  • Le temps joue contre moi
  • Je ne suis pas sûr d’y arriver
  • Les mille détails à régler m’obsèdent jour et nuit
  • Je ne débranche jamais
  • La banque ne me facilite pas la tâche
  • Mes amis disent qu’ils me font entièrement confiance mais ne m’aident pas vraiment.
  • J’ai plus de doutes que de certitudes
  • Des pans entiers s’écroulent et je dois reconstruire
  • Certes j’ai des succès mais cela ne va pas assez vite
  • Etc.

Toutes ces réflexions sont celles de quelqu’un qui stresse car elles suggèrent que je ne vais y arriver. Alors, je me tends, je résiste, je persiste, je me ferme, je m’entête là où je devrais être persévérant et adaptable. Je pers du temps là où cela ne va pas selon ma volonté. Je ferme les oreilles à d’autres opportunités. Je me comporte comme quelqu’un de stressé. Je suinte l’échec à venir tellement je le crains.

Mais cette attitude peut être renversée :

Après

Après

Je peux être confiant :

  • J’aime le client qui me nourrit, me corrige, m’oriente, me suggère me donne des idées.
  • Je délègue et si ce n’est pas parfait, au moins, ça avance et me libère pour autre chose.
  • Le temps m’est favorable. Mon projet murit. Ma notoriété augmente. Mon offre s’affine.
  • Je suis sûr d’y arriver. Je le sens. Je le sais. J’ai ça en moi.
  • J’ai réglé mille détails aujourd’hui. Je me félicite et me repose. J’en règlerai mille autres demain.
  • Je m’accorde une pause. Je médite, je m’écoute, je me recentre.
  • La banque veut être rassurée. Je les comprends. Ils n’ont jamais entrepris et ne connaîtront jamais mon métier de l’intérieur.
  • Mes amis restent en dehors de mon entreprise pour m’offrir un lieu de calme où me ressourcer.
  • Je transforme mes doutes en certitudes. Je n’envie pas ceux qui transforment leurs doutes en échecs.
  • Je construis, j’adapte, je transforme, je corrige, je peaufine.
  • Mes succès me confortent et me stimulent. Ce sont des jalons le long du chemin.

Alors, je m’éclate, je me démultiplie, je saisis les opportunités, je vais au bout de moi-même, je vis à plein mon projet. Il sonne juste car c’est mon projet de vie.

Si je ne sais pas passer de ‘tendu » à « confiant » je m’exerce avec le Livre Blanc : Je transforme mon stress en atout.

Réagissez. Donnez-nous votre commentaire. Vous aiderez tous les autres entrepreneurs à mieux vivre leur aventure.

Commentaires (2)

  1. Benoît

    Et comment passe-t-on de tendu à confiant?

    Benoît

L'ajoût de commentaire est désormais suspendu.